Présidentielles : à Saint-Laurent du Maroni, une jeunesse qui se sent « un peu isolée »
Dans la deuxième ville la plus peuplée de Guyane, plus de la moitié des habitants a moins de 25 ans. A l’approche des élections présidentielles, face à un chômage structurel et aux conséquences d’une démographie soutenue, la jeunesse que l’on a rencontrée se sent loin des préoccupations nationales. Au bord du fleuve Maroni, Olivier, 21 ans, surveille ses deux petites sœurs. A cause du Covid, les écoles de la ville ont fermé pour deux semaines. Né à Saint-Laurent, où il a fait toute sa scolarité, Olivier ne votera pas en avril, faute de papiers d’identité français. Comme beaucoup de jeunes…
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2 commentaires
Dommage, l’article semble intéressant mais cette écriture inclusive m’arrache les yeux.
Encore un article que je ne lirais pas. Regretable.
Vous baissez les bras face à trois petits points ?
L’ignorance à de beaux jours devant elle…