Pourquoi l’inspection recale l’EPCC
Un rapport commandé par le ministère de la Culture en vue de la labellisation de l’EPCC Les Trois Fleuves en tant que scène nationale dresse un bilan peu concluant de la structure. Il préconise vivement le changement de direction, nommée il y a deux ans et demi par l’équipe Alexandre, et pointe du doigt « le personnel trop nombreux qui n’a pas été choisi ». Fin novembre 2015, « 19 » agents sur les 27 qui travaillent à l’EPCC Les Trois Fleuves avaient sommé le président du conseil d’administration, Rodolphe Alexandre de « faire des propositions » pour que cessent « le management dictatorial » de la…
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2 commentaires
Quel dommage que l’inspection n’ai pas poussé jusqu’à la porte d’à côté….et ne soit pas allé vérifier l’utilisation de l’argent public par le « Conservatoire de Guyane »….:
un directeur *** .
un président invisible lui aussi et inutile,
des disciplines nombreuses qui n’organisent jamais la moindre audition publique pour leurs élèves,
des cours des solfège catastrophiques faute de personnel qualifié,
des agents nombreux payés pour être assis sur une chaise ou traîner dans les couloirs,
*** Modération par Guyaweb.
De ce que j’en comprend et connais, l’impossibilité à sortir quelque chose de cet EPCC, vient de l’absence de vision culturelle cohérente de la part de nos élus régionaux (Je ne vois que les 3 communes de l’Ouest qui se soient dotées d’une politique culturelle) et par là d e moyens de travailler, de pré-carré déjà trop installés de la part du personnel, qui ne fait pas le job (et ceux qui étaient bon sont devenus aléatoires, cassés par les autres), du caractère entier de la directrice.
Changer la directrice ne fera que changer 1/3 des problèmes.
Il me semblerait, pour la saine gestion de l’argent public, que l’Etat abandonne l’idée d’un EPCC régional, mais qu’il en produise les effets par des aides bien orientées aux structures locales, qui bossent avec peu de moyens, d’autant que les collectivités, du fait de leur absence de projet culturel, ne les aident pas.
Par exemple, créer une salle de théâtre de 250 places sur lîle de Cayenne. Un collectif d’associations avait fait des propositions en ce sens il y a au moins 5 ans, d’une structure peu chère, et rien n’a bougé.
La seule salle disponible (en fait rarement disponible car elle sert à l’ENMD), c’est l’EPCC, prévue pour la musique et la danse dont la sonorité et l’aménagement sont peu adaptés au théâtre et à la voix.
Commençons par un premier pas : disposer d’une salle, booster les structures, avant de perdre ses sous dans un machin pas adapté.