L’émancipation de la Guadeloupe, toujours questionnée, loin d’être adoptée
Alors qu’une crise sociale secoue l’île antillaise, le ministre des outre-mer, Sébastien Lecornu, a lâché le mot : « autonomie ». Une question statutaire qui parcourt la population depuis des années et cristallise son identité, mais qui peine à aboutir. Cet article d’Amandine Ascensio est paru lundi 29 novembre sur le site de notre partenaire Mediapart, journal d’information numérique, indépendant et participatif. Pointe-à-Pitre (Guadeloupe).– Sur la barricade de Montebello, l’une des places fortes de la contestation actuelle en Guadeloupe, si tout part du Covid-19, les conversations finissent très vite par obliquer sur le rapport à l’Hexagone. « La Gwadloup sé tan nou », peut-on entendre régulièrement, comme…
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7 commentaires
L’outre-mer français est un sac de noeuds sans issue. La plupart des multiples analyses sur le sujet sont fondées, mais aussi largement plombées par la ligne rouge quoique volontairement floue identifiée à travers une terminologie politiquement incorrecte : la victimisation. La réalité historique et sociétale est le socle définitif sur lequel repose toute insatisfaction ou frustration. Il ne pourra jamais y avoir d’acceptation ou de validation de quelque processus que ce soit car cela conduirait à se retrouver confronté à un soi privé de son meilleur ennemi.
Moi, qui n’ai pas fait « maths spé », en clair ca veut dire quoi votre charabia Rubinho???
Je vous invite à aller sur « Blada » pour déblatérer avec Jcb, Carbet et autres grands « masturbateurs »!!!
Cordialement, bien sûr!!!
Je souffre donc je suis.
« La Gwadloup sé tan nou »; mais dès que l’état propose de discuter autonomie, tout le monde fait demi-tour. C’est pathétique !
Ce petit pave lance par notre mixologue en chef n avait pour objectif que de diviser avant sa venue…..
la majorite des acteurs de ces troubles revendique pour des solutions et
une minorite les plus « durs » du mouvement exprime elle simplement leurs coleres.
Donc notre specialiste des aperos. tropicaux sachant que la grande majorites des guadeloupeens (elus en tete) veulent rester francais pense creer une division et ecarter au sein meme du mouvement les « durs » avec ce theme d autonomie.
D ailleurs son bluff pour demander aux 3 syndicats un prealable avant toute discution etait juste la deuxieme main de sa partie de carte.
Dans tout les cas l histoire ne nous dit pas s il a ete convie a un coktail de bienvenue ou…. de depart
et pendant ce temps
http://fondaskreyol.org/article/barbade-se-separer-sans-bruit-ni-fureur-ou-439-km2-de-dignite?fbclid=IwAR2X5QIIAOqQq8GvkVbqy_3wxbFBrdpQv5qnceZy_syJVX8NJ0nxMfVbORM
Un peu bizarres vos conseils de lecture…
« …et plus le temps passe, plus la goutte de café martiniquaise ou guadeloupéenne se diluera, se dissoudra, dans les mille hectolitres de lait français et les dix-mille hectolitres de lait européen. C’est couru d’avance ! ».