La politique ou les démêlés judiciaires pour les leaders de 2017
Sur les ronds-points, le long des berges du Maroni, à la préfecture lors des pourparlers, nombreux furent celles et ceux en 2017 à dire « nou gon ké sa » et à désigner la classe politique locale comme co-responsable avec Paris des retards structurels qu’accuse le territoire. Souvent à l’écart des partis, certaines figures de la grande mobilisation ont su par la suite se placer, en électron libre ou en soutien de personnalités politiques. Pour les 500 frères l’après 2017 a débouché sur de nombreuses affaires en justice. En cinq ans, la trajectoire dessinée par certains anciens leaders de 2017…
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4 commentaires
Et Rim
Et Rimane ?
Votre article aurait pu être bien mais comme toujours vous ne savez pas mettre vos opinions de côté pour faire du journalisme. Un titre accrocheur, une pluie de description et puis rien!!! De plus de grossières erreurs car Zadkiel Saint-Orice n’est pas un VP de la CTG. L’affaire Mangal remonte à 2012 donc vous insinuez que après 2017 il a encore commis des faits? Pourquoi ne pas rappeler le contexte de Mme Payé? Et pourtant je m’attendais à avoir des infos qui auraient pu faire redescendre certains mais ce genre d’article les conforte. Bref heureusement que vous écrivez peu car c’est une catastrophe mme B! Heureusement que vos collègues sauvent le journal!
Un peu facile de mettre tout ça dans le même sac.
Pour Mangal, ça n’a rien à voir avec 2017, ça concerne la mort d’un enfant au cours d’un trajet scolaire. Une vieille camionnette pourrave dans laquelle les règles de sécurité étaient négligées et qui avait fait une sortie de route…
Pour mariema, c’était aussi avant 2017, de l’argent facile utilisant la faiblesse des immigrants…
Je suis juste surpris de ne pas lire des trucs sur Mr le président des barrages, on aurait pu rire un peu en relisant les aventures de moukin…