Après son décollage de Sinnamary, Soyouz met en orbite un satellite pour la défense nationale qui doit permettre «d’identifier un armement sur un pick-up»
Pour le dixième et dernier lancement de l’année de Guyane dont un échec du lanceur Vega, la fusée russe Soyouz a mis en orbite le satellite d’observation à usage de défense et de sécurité CSO-2, pour le compte du Centre national d’études spatiales (CNES) et de la Direction générale de l’armement (DGA), au profit de l’Etat-major des armées. Le lancement s’était effectué à 13h42 locales à l’heure prévue du pas de tir de Sinnamary, un lancement en orbite basse n’ayant pas de fenêtre de tir. Ce satellite d’une masse au décollage de 3562 kg (un peu plus de 3,5 tonnes)…
La suite de cet article est réservée aux abonné(es).
Rejoignez-nous et faites vivre l’information d’intérêt général et de qualité. Restez bien informés et accédez à nos informations, reportages, enquêtes et analyses, à lire nulle part ailleurs !
Lisez la suite pour 1€
Je m'abonne
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.