A Camopi, la loi de la jungle maintenue à un degré brûlant
C’est grave, très grave et inédit. L’ambiance entre les riverains de Camopi et la rive Brésilienne semble suspendue au bord d’un saut à sec. Preuve en est, des renforts du côte Brésilien comme du côté Français tentent d’éviter les étincelles. 1 mort et sept blessés sont à déplorer en vingt-quatre heures dans le rang des garimpeiros. C’est un hasard funeste du calendrier, pour une situation qui ne pouvait déboucher autrement. Il y a tout juste un an, deux jeunes militaires Harpie perdaient la vie à Dorlin, abattus par la bande à Manoelzinho, lors d’une opération de « réinstallation d’une société…
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il serait temps que nous puissions prendre notre destin en main, les amérindiens non pas de terre en propriété privée, ils ont été vaincu et non rien à perdre. C’est le moment de défendre sa personne à défaut de ses intérêts, puisqu’ils ont a pas d’intérêts à défendre.
Le problème c’est que Rémi est souvent vite dépensé à Villa Brasil…
Un grand bravo à Guyaweb et à sa journaliste pour leurs articles qui posent les bonnes questions et savent surtout, à qui les poser. Qui aurait cru que la presse Web puisse un jour rivaliser voir supplanter, sur de tels sujets, avec notre presse locale, notre radios et TV d’état, si frileux, même sous les tropiques,.. tous semblent plongés dans un attentisme patent, …comme nos élus !
Une population qui vit dans la peur, des habitants qui se font tirer dessus comme des chiens… des gendarmes régulièrement agressés par des clandestins et des populations qui subissent la loi des garimpeiros dans un silence assourdissant !
Et pendant ce temps-là que disent nos élus, que font-ils ? Où est le maire de Camopi, que fait – il ?
Comment peut-on laisser nos compatriotes guyanais subir ainsi la loi des pillards brésiliens ?
Faut-il attendre un mort wayãpi ou téko ? Camopi est bien en Guyane, un département français ?
Remarquable article qui a le mérite de poser les problèmes dans leurs cruelles réalités.
Une fois encore notre pays ne parvient pas à assurer sa mission de protection et de développement des français où soit ils soient sur le territoire national.
Les métropolitains n’ont aucune idée de ce qui se passe dans ce coin de France.
Bravo à Guyaweb et à sa journaliste de poursuivre dans ce sens, tous les articles sont très bine documentes.
Raymond
Guyane 1ère radio. Ex-RFO. Interrogez-y des journalistes un peu moins timorés que les autres; Ils vous expliqueront comme la censure y sévit…
Ce site a encore quelques efforts à faire en orthographe. On écrit « mettre en joue », pas « mettre en joug ».
quel dommage que cet article comporte autant de fautes de langue… « mettre en joug », « le bas blesse », entre autre. Messieurs les journalistes, montrez l’exemple en respectant le bon usage du français, svp.
Le Peuples Autochtones déterront-ils la hache de guerre, s’ils sont contraints de le faire pour défendre la sécurité des enfants, des femmes et des vieillards?
Les Peuples Autochtones de Guyane n’ont jamais été vaincu militairement, ni leurs lois n’ont jamais été abrogé.
Il faudrait peut-être réactiver le conseil de sécurité des Peuples Autochtones pour mandater une force belligérante face aux agressions des groupuscules brésiliens qui ont la volonté préméditée d’éradiquer physiquement les premières nations.
Les Peuples Autochtones sont peut-être minoritaire en Guyane française mais majoritaire en Amérique du sud.
Méditez à cette réflexion.
Le plus urgent est surtout d’apaiser les tensions; une rencontre entre délégation brésilienne et délégation camopienne est urgente pour désamorcer ce conflit.
En même temps, les rumeurs tentant de diaboliser « les brésiliens » doivent cesser, car n’oublions pas d’éviter les amalgames: parlons bien de « garimpeiros » et pas de « brésiliens », qui sont loin d’être tous responsables des actes commis la semaine dernière.
Les camopiens de l’îlet Moulat ont réagi vite et bien, ce soir là! Non seulement le piroguier de la gendarmerie était visé; mais sa famille et les autres personnes qui se baignaient à ce moment là ont été en grand danger également.
Je suis heureuse que mes voisins aient empêché ce drame et qu’ils soient tous indemnes. J’espère juste qu’ils arriveront à prendre de la distance avec leur colère (légitime) et que tout ceci ne sera bientôt qu’un mauvais souvenir.
Il faut cependant rester vigilant, ne pas faire une psychose, tout en gardant à l’esprit que ces gars ou d’autres pourraient revenir… plus tard, quand la pression sera retombée…
Oui, nous avons du mal à dormir à Moulat, et le moindre bruit suspect nous réveille… Je veux néanmoins envoyer un message de paix à tous…
ninportkoi cé linfo ké inportan , jamai konten lé gens;