21 militaires du GIGN spécialistes du grand banditisme envoyés en Guyane pour «traquer une bande armée» en forêt, a révélé un général… juste avant un braquage de plus perpétré dimanche sur un site minier
Hier dimanche, j’ai pu contacter Arminio (2), Brésilien bien connu du milieu minier légal en matière de vente de matériel, qui m’affirme alors : «les braquages de mines continuent toujours, en tout cas de ce que je connais sur Saint-Laurent, Mana ou Apatou, il y en a constamment. Chaque mois, j’entends dire : il y a eu un braquage à tel endroit. Les opérateurs miniers de la FedomG pourraient vous le confirmer». Mais pourquoi n’y a-t-il plus, par exemple de communiqué de la FedomG depuis un an si les braquages se répètent toujours comme vous l’affirmez ?, objecte-t-on à notre…
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5 commentaires
Article édifiant, très bien écrit et documenté. FF comme au bon vieux temps et comme je l’apprécie.
prenez soin de vous, gendarmes en mission en forêt ! et n’hésitez pas à faire usage de la force publique lorsque nécessaire
Hixx !
Qui a demandé à Morvandiau « ses sources » pour affirmer que la situation hors parc est tout bonnement catastrophique ?
C est une bonne chose dans le fond
Sur la forme je pense que c est plutot « entrainement en situation reel »
Ce genre de situation ne se resolvera qu’avec du renseignement partage avec nos amis et voisins.
Cet or finit forcément blanchi, donc vendu via une filière légale et officielle. Personne ne braquerait le précieux métal si ce n’était pas pour qu’il se transforme rapidement en cash … à moins d’une bande de fétichistes de l’or qui collectionne…
Ou bien il finit par être « mélangé » à la production officielle d’un légal pourri qui déshonore la profession, ou bien des comptoirs peu regardant sur la provenance rachètent le précieux métal.
La « fine bande » travaille forcément sur commande et pour des sous.
Vivement la suite de l’enquête pour savoir ce que devient l’or braqué. Mais il finirait dans un vrai lingot bancaire très officiel, calibré, poinçonné, déclaré et sous blister que je ne serais absolument pas surpris.