Les classes populaires du Brésil trouvent-elles leur salut en Guyane ?
Le mouvement social qui inonde les rues des villes et campagnes brésiliennes depuis une semaine met le doigt sur des conditions difficiles que subissent les classes populaires Brésiliennes. Ces dernières peinent à manger, se vêtir, accéder aux soins et aux études de manière décente, faute de justice sociale et à cause d’une corruption enracinée dans la classe politique et décisionnelle. C’est cette misère qui pousse également des hommes et des femmes à migrer en Guyane. Certains s’en sortent haut la main, épanouis dans leur travail, reconnus, accédant à un échelon social digne. D’autres : les garimpeiros, les travailleurs exploités sur…
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Toujours ce problème de la lutte coûteuse et inefficace contre l’orpaillage, qui représente en fait une solution facile pour les poliiques brésiliens pour ne pas investir l’argent qu’ils préfèrent voler et des effets d’annonce faciles pour les politiques guyanais.
Peut-être qu’un jour on comprendra que partie des 20000 € que coute en moyenne une reconduite aux frontières, que partie des charges des 1200 miitaires qu’on finance avec peu d’effets pour lutter contre l’orpaillage illégal, seraient bien plus utiles à s’investir dans le maranhao pour financer des écoles et des emplois. Mais comme on n’est déja pas capable de comprendre qu’il faudrait commencer à appliquer cette recette à la Guyane, il y a du souci à se faire et la cohorte des damnés de la terre n’est pas prêt de s’éteindre.