Du naufrage ou du succès collectif
La validation de la charte du Parc national en Conseil d’administration, « quatre ans » après le début du processus a relancé de vives saignées. Les opposants politiques et leaders militants habillent le Parc national en « colonialiste » qui manque de « transparence » ; une instance « juge et partie » qui n’écouterait pas les populations. Les leaders nationalistes se gargarisent. Le Parc s’insurge. Les citoyens sont perdus devant de tels rapports de force dictés par les tactiques politiques. Brigitte Wyngaarde, présidente de l’association Hanaba Lokono, gestionnaire des terres de Balaté à Saint-Laurent du Maroni, anciennement Chef coutumier nous donne son…
La suite de cet article est réservée aux abonné(es).
Rejoignez-nous et faites vivre l’information d’intérêt général et de qualité. Restez bien informés et accédez à nos informations, reportages, enquêtes et analyses, à lire nulle part ailleurs !
Lisez la suite pour 1€
Je m'abonne
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.