« Cette panique de ne plus avoir assez d’essence »
Véronique Kanor était de passage en Guyane la semaine dernière pour animer des ateliers théâtre. Tour à tour, journaliste, réalisatrice, scénariste, l’auteure martiniquaise, révolutionnaire trempée, vient de signer son dernier livre de poésie Combien de solitudes, aux Éditions Présence africaine. Un ouvrage qui chemine dans le sillon familial, tente la convalescence de l’amour perdu, goûte la peur et le manque, sur fond de la crise sociale de fin 2008 – début 2009, symbolisée par la lutte contre la pwofitasyon. La profitation il en fût question ces dernières semaines en Guyane et aux Antilles, territoires qui furent rythmés par les fermetures…
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