A Ouvéa en Nouvelle-Calédonie, « le jour d’après » référendum
Le 12 décembre 2021 seulement 43,90% des électeurs se sont rendus aux urnes pour dire « non » à l’indépendance de la Nouvelle-Calédonie. L’ouverture du corps électoral, un nouveau statut pour l’archipel dans la République française : les termes de la question sont redevenus les mêmes qu’à la fin des années 80. Retour à Ouvéa, dans la tribu de Gossanah, là où la tragédie de la grotte a généré le processus qui s’est conclu dimanche dernier par le troisième et dernier référendum. Nouméa, Ouvéa (Nouvelle-Calédonie) – À Ouvéa, où la terre est sacrée et appartient intégralement au peuple Kanak, tout commence et…
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3 commentaires
« la création d’un Etat calédonien avec ses souverainetés maîtrisées et partagées avec la France. »
Le rêve quoi. Bretons, Basques et banlieues devraient exiger la même chose.
Tous les pays qui avaient le choix ,ont quittés le socialisme, faudrait trouver un truc plus moderne, plus besoin de mètre « socialisme » partout pour faire « révolutionnaire »
Les souverainetés partagées ou plutôt la souveraineté partagée est un bel exemple d’oxymore.