La fin de l’imprimerie et de l’hebdo Chaumet
L’imprimerie RGI, d’Alain Chaumet, placée en liquidation judiciaire le 25 février 2015, change de mains. Le tribunal de commerce de Cayenne a validé la reprise par différents actionnaires – dont nous ignorons l’identité – ce mercredi 27 mai. Par ailleurs, Vanessa Chaumet, fille d’Alain Chaumet, co-gérante et co-directrice de la publication de La Semaine Guyanaise depuis le premier trimestre 2013 est venue demander à la barre la liquidation de l’hebdomadaire, selon nos informations. Malgré l’entrée en tant qu’actionnaires de Carole Ostorero, Stéphane Lambert et de Michel Chaya en 2013 (Guyaweb du 15/04/13) au capital de la Sarl, celle-ci avait été placée en…
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9 commentaires
Allez, dites que sans le vouloir, c’est bon à prendre pour ceux qui en avaient démissionnés.
C’eut été rigolo de lire un article écrit par M Farine pour le coup :-)
Il est bien plus fin, voyons !
Ils n’ont pas démissionné mais en étaient chassés.
Voila le sort de ce papier devenu un calendrier de l’ événementiel haut en couleurs – ce qui n’intéressait personne.
Un hebdo devenu pathétique après le départ des vrais journalistes. Aucun regret que ce torchon disparaisse. Il y a même une certaine morale devant la violation de la liberté de la presse faite par ses dirigeants. Bon debarras…. Mais à quand une vraie presse écrite en Guyane ?
moi j’aimais dommage
quand je lis certains commentaires, j’ai mal pour la démocratie. Je n’étais guère fan de cet hebdo mais la « mort » d’un organe d’info, quelque soit sa couleur politique, son opinion… c’est un espace de liberté qui disparaît.
Tel est le résultat d’un journalisme de connivence. Un journal doit faire des scoop, sortir de l’information.
Aucun regret pour la disparition de cette daube.
On ne parle pas ici de la semaine guyanaise, mais de l’imprimerie RGI. Celle-ci est un relais poste et cela manquera aux habitants du quartier. Le fait qu’elle soit en difficulté n’est pas étonnant. Le fait qu’elle ne l’ai pas été plus tôt l’est plus. Depuis bien des années l’imprimerie avait une réputation mitigée dans le milieu de la communication, pour des travaux de qualité parfois variable. Il lui était souvent préféré des confrères, souvent aussi du Larivot, parfois un peu plus cher, mais de réputation constante.