Alerte sociale à Guyane La 1ère
En proie à des conditions de travail dégradées depuis plusieurs semaines, les journalistes de la rédaction radio de Guyane La 1ère ont débrayé ce mercredi sur le pic de la matinale de 7h à 8h* pour alerter sur la situation du média public, tendue en partie du fait de la réforme de l’audiovisuel public qui devrait être présentée bientôt par le ministre de la Culture Franck Riester. Pas de journal de la rédaction à 7h. A la place, des informations de France-Info et de la musique. Ce n’était donc pas le silence radio mais les journalistes de la rédaction radio…
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1 commentaires
Manque d’effectifs…
Je veux bien croire qu’il y a beaucoup à faire à Guyane 1ère, mais… j’aimerai savoir QUI en fait « beaucoup » là-bas ? Toujours les mêmes. Pendant que d’autres se roulent les pouces et occupent des postes que de nombreux pigistes motivés (contrairement à ce qu’affirme le rédac chef) voudraient bien voir plus accessibles.
C’est un panier de crabe, et je ne sais pas s’il faut s’émouvoir de les voir acculés à travailler.
En revanche, comme partout, les journalistes se font rares, ne peuvent pas aussi facilement qu’on l’aimerait mener leurs enquêtes (de fond, qui plus est ici où tout le monde connait tout le monde), et les lecteurs n’aiment pas payer pour avoir de l’information fiable… alors faut pas s’étonner de ce qu’on a comme information ensuite. Un truc superficiel, pauvre, bien souvent sans recul (voire même avec l’avis « péyi » du « journaliste » dedans), et qui par dessus le marché, donne l’impression que chaque chat écrasé dans notre beau territoire vaut une Une, ou mérite un mouvement social…. pfffff