La Cour d’appel de Cayenne réunie en Chambre commerciale était donc chargée de se pencher à son tour sur la décision du tribunal de commerce de mai 2012. Concernant la vente du tracteur à chenille, dans son arrêt du 11 avril dernier, la Chambre commerciale a d’abord indiqué que Jean-Pierre Casas avait été, depuis, relaxé par la Cour, le 3 avril 2014, des faits «d’escroquerie » qui lui étaient reprochés dans ce volet de l’affaire pénale mettant face à face les mêmes protagonistes et qu’il existait « un doute », en 2014, toujours selon la Cour, quant à « la tromperie » (en fait, au…