Restrictions à la liberté de circuler : un arrêté du préfet avait oublié le cas des victimes de violences susceptibles d’aller porter plainte, le procureur le fait rectifier
Les mesures draconiennes prises par les autorités administratives afin de restreindre la circulation de personnes avec pour objectif de limiter la propagation du Covid-19 avaient quelque peu oublié le cas des victimes de violences susceptibles de se déplacer à la gendarmerie ou au commissariat de police afin de porter plainte. Le procureur de Cayenne a obtenu fin mars l’ajout d’un article dans un nouvel arrêté du préfet afin de remédier à cette incohérence. Petit souci : les attestations nationales types exigées lors des contrôles sous peine de prune (1) ne prévoient pas non plus ce genre de déplacement (!) Le…
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