Neuf personnes mises en cause en Guyane ont eu le temps de mourir avant le dénouement de l’enquête les concernant, s’est rendu compte le parquet en 2017 !
Suite de notre feuilleton sur les chiffres et les faits singuliers de la justice guyanaise. En Guyane, s’étant, semble-t-il, attaqué un peu plus aux poussières des armoires du tribunal en 2017 que lors des exercices précédents (en déduit-on des affirmations du procureur début 2018, voir cet article), le parquet s’est rendu compte que dans pas moins de neuf dossiers ouverts, neuf mis en cause avaient déjà eu le temps de mourir avant le dénouement de l’enquête. Résultat : enquêtes classées ! La Guyane : personne ne vous croira pas ! C’est la loi : lorsqu’une personne mise en cause meurt, l’enquête judiciaire la…
La suite de cet article est réservée aux abonné(es).
Rejoignez-nous et faites vivre l’information d’intérêt général et de qualité. Restez bien informés et accédez à nos informations, reportages, enquêtes et analyses, à lire nulle part ailleurs !
Lisez la suite pour 1€
Je m'abonneVous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.
2 commentaires
En place et lieu du ton ironique, le brillant journaliste que vous êtes ne pourrait-il pas nous donner des éléments permettant de mettre en perspective cette « information » ? (depuis combien de temps les dossiers avaient-ils été ouverts ? chiffres comparatifs avec d’autres tribunaux ? etc…)
La réponse est dans l’article qu’il convient de lire consciencieusement : le procureur a été sollicité depuis février pour apporter, s’il le souhaitait, des précisions sur ces 9 mis en cause morts avant l’issue de l’enquête les concernant.