Me Rudy Constant : « On ne s’approche pas d’un chien policier qui protège son maître. A fortiori (…) lorsque l’on vous a prévenu »
Sur la réaction du préfet mardi 12 janvier «Je comprends parfaitement la colère de tout un chacun et moi-même j’étais en légère colère», a lâché le préfet de Guyane Thierry Queffelec, mardi 12 janvier au cours de l’émission InviThé Café de Guyane la 1ère, donnant l’impression de lâcher, un tantinet, par la même occasion, son directeur territorial de la police, Gil Friedman. «Une chose qui est sûre c’est qu’en maintien de l’ordre, on n’utilise pas des chiens», avait ajouté le préfet au cours de cette émission (9), enfonçant le clou. Il semble qu’à un moment donné l’opération se soit transformée…
La suite de cet article est réservée aux abonné(es).
Rejoignez-nous et faites vivre l’information d’intérêt général et de qualité. Restez bien informés et accédez à nos informations, reportages, enquêtes et analyses, à lire nulle part ailleurs !
Lisez la suite pour 1€
Je m'abonneVous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.
4 commentaires
Bloublou
est-ce que certaines violences seraient acceptables sur un policier ? si oui lesquelles ?
par ex
https://www.youtube.com/watch?v=NHr5O3V5_s8
Voyons… quelle question ! https://fr.wikipedia.org/wiki/Rafle_du_Vélodrome_d%27Hiver
Deux commentaires ? Vraiment ?