Me Jérôme Gay : « c’est l’affaire Méthon ! »
Nous étions en demande d’explications complémentaires sur «l’affaire Laurent Castillon». Nous avons soumis quelques questions hier vers 18 heures à Maître Jérôme Gay tout juste descendu de l’avion de métropole pour pourvoir défendre ce mardi Iracelma De Andrade Oliveira, l’ancienne épouse du défunt, accusée d’être la commanditaire du crime, commis le 20 décembre 2021. Frédéric Farine : Ce Laurent Castillon, est-ce un type qui avait un passé ou un passif dans la déliquance, il a fait de la prison dans l’Hexagone avant de venir en Guyane, j’ai ce retour ? Me Jérôme Gay : Oui, il a un casier mais…
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2 commentaires
Icelma semble être dedans jusqu’au cou dans cette affaire, ce que pensent depuis longtemps beaucoup de gens à Cayenne, et pas seulement le cercle des proches de feu la victime , la vérité sortira ! Hier défendue par maitre ? pour un pseudo héritage sur lequel elle n a aucun droit, ayant même renoncé officiellement à la garde de son fils en 2020, aujourd’hui défendue pour avoir commandité un meurtre ! A qui profite le crime ? Laurent CASTILLON partait le jour même pour finaliser en France son second mariage qui aurait définitivement enlevé toutes possibilités de recours à l ex femme , se croyant toujours mariée officiellement au Brésil, et hasard du calendrier, il est abattu le jour même!!! Juste avant que lui échappe définitivement les perspectives de toucher peut être légalement une partie de l argent du défunt . C était le timing de la dernière chance ( pas pour CASTILLON bien sûr) Après , comme le dit de façon simpliste son conseil, c est l affaire methon… , quelle comparaison au ras des pâquerettes 👎 . Feu m me thon est décédé dans des conditions horribles, on lui en voulait apparemment fortement, alors que Laurent CASTILLON a été abattu devant son commerce , en plein jour . Une exécution fomentée de longue date , avec quelqu un qui a prévenu le tueur que la victime revenait sur son lieu de travail. Et qui était dans les locaux ce jour là ? Je vous laisse deviner
Semble, jusqu’au cou… c’est pas forcément une vérité. Le parquet pas très transparent et qui n’a pas compris que la publicité est en quelque sorte la règle devant le JLD ( et le silence du juge l’exception) a évidemment requis et obtenu l’absence de publicité. Consternant en démocratie après 2 ans d’instruction !