Les secrets d’un réseau de passeurs de migrants haïtiens via le Suriname
Disparu des écrans radars de l’instruction fin 2017, Raymond Orfèvres, au cours de l’enquête sur cette affaire avait indiqué, s’agissant de l’hébergement par ses soins d’un clandestin (parmi d’autres), un certain Richardson C., avoir fait cela «par charité (sic)» au regard de son engagement de «président d’une association d’aide aux personnes» mais avoir finalement mis ce clandestin à la porte en raison, selon lui, de la consommation de cannabisde ce jeune homme. Raymond Orfèvres avait préalablement été interpellé le 12 janvier 2017 en compagnie d’une mineure de 17 ans, Alassa (1). La jeune fille expliquait alors qu’elle avait, courant juin…
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3 commentaires
Hébergements moyennant finances toujours en cours à Mana …….
Et à l’issue de leur peine, les passeurs seront ils expulsés ? Les « passés » eux, ont du se voir gratifiés d’une carte de séjour…
^Parmi les premiers Haïtiens arrivés en Guyane et qui ont réussi,il y a effectivement des personnes qui organisent l’arrivée des clandestins avec aussi l’aide de quelques locaux,sauf que chaque passage,chaque hébergement est payant.Une dame d’origine Haïtienne devenue Française,nous a confié il y a quelques années qu’un compatriote l’avait contactée afin qu’elle puisse recevoir en pleine nuit 4 clandestins ces derniers,devaient lui remettre 250 euros.Cette dame a refusé,ne voulant pas avoir de problèmes et perdre la nationalité Française.Les jeunes filles de 18 ans qui arrivent sont obligées (selon le réseau) de s’accoupler, avec un compatriote régulier,il a un emploi,des papiers,évidemment ces jeunes tombent enceintes afin d’obtenir plus rapidement une carte de séjour.Souvent les hommes ont parfois la quarantaine ou la cinquantaine, le regard de la jeune demoiselle en dit long (prise au piège). Rien n’est gratuit,il faut vivre dans les quartiers populaires,pour comprendre que l’exploitation des clandestins (quelque soit la communauté) commence d’abord par leurs propres compatriotes. Je vis à la Crique,je vais souvent à la cité Capulo ,je circule en bus résultat il y a beaucoup de choses à raconter parfois tristes.