Les secrets d’un réseau de passeurs de migrants haïtiens via le Suriname
Dans cette affaire, Fritzner Paraison, Joseph Ferdinand et Ernst Laurent n’ont pas fait appel nous a confirmé cette semaine le parquet général de la Cour d’appel de Cayenne. Trois des six condamnés ont interjetés appel : en premier lieu Kesner Cilencieux ayant pour avocat l’ancien bâtonnier, Me Jean-Yves Marcault-Derouard, et Vilacon Belus défendu en première instance par Me Didier Aurel. Troisième appelant : l’absent au procès de 1ère instance, Raymond Orfèvres, ayant jusque là également Me Marcault-Derouard comme avocat. Les trois ont été jugés en appel lors de trois audiences distinctes. L’audience d’appel de Kesner Cilencieux a lieu le 17…
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3 commentaires
Hébergements moyennant finances toujours en cours à Mana …….
Et à l’issue de leur peine, les passeurs seront ils expulsés ? Les « passés » eux, ont du se voir gratifiés d’une carte de séjour…
^Parmi les premiers Haïtiens arrivés en Guyane et qui ont réussi,il y a effectivement des personnes qui organisent l’arrivée des clandestins avec aussi l’aide de quelques locaux,sauf que chaque passage,chaque hébergement est payant.Une dame d’origine Haïtienne devenue Française,nous a confié il y a quelques années qu’un compatriote l’avait contactée afin qu’elle puisse recevoir en pleine nuit 4 clandestins ces derniers,devaient lui remettre 250 euros.Cette dame a refusé,ne voulant pas avoir de problèmes et perdre la nationalité Française.Les jeunes filles de 18 ans qui arrivent sont obligées (selon le réseau) de s’accoupler, avec un compatriote régulier,il a un emploi,des papiers,évidemment ces jeunes tombent enceintes afin d’obtenir plus rapidement une carte de séjour.Souvent les hommes ont parfois la quarantaine ou la cinquantaine, le regard de la jeune demoiselle en dit long (prise au piège). Rien n’est gratuit,il faut vivre dans les quartiers populaires,pour comprendre que l’exploitation des clandestins (quelque soit la communauté) commence d’abord par leurs propres compatriotes. Je vis à la Crique,je vais souvent à la cité Capulo ,je circule en bus résultat il y a beaucoup de choses à raconter parfois tristes.