Le procès des gros bras qui ont voulu déloger les squatteurs : José Achille, Roger Achille, Frédéric Jean Baptiste, Sean Da Silva et Serge Nugent en appel jeudi.
Second round pour les cinq gros bras jeudi 30 mars : procés en appel, avenue De Gaulle à Cayenne. Il leur est reproché les faits de «dégradation ou déterioration du bien d’autrui commise en réunion» et «manoeuvre, menace, voie de fait ou contrainte pour forcer une personne à quitter son lieu d’habitation». Ambiance. Ce jeudi 30 mars, vient en appel, le procès des 5 personnes qui ont voulu déloger les squatteurs du 53 rue madame Payé, le 5 septembre 2018. Quatre d’entre eux sont défendus par Me Alex Leblanc selon le rôle de la Cour d’appel : les frères José…
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2 commentaires
Tout ça parce que l’Etat ne fait pas son travail. Selon moi, une seule personne devrait être condamnée, l’ETAT !!!! tout cela discrédite encore l’Etat qui perd de plus en plus la confiance du peuple.
^Je valide votre commentaire « Pagainom » quel bien? C’étaient des squatteurs,arrogants qui n’ont pas hésité à menacer les riverains y compris l’avocate dont le bureau est en face J’ai une parente qui a laissé à sa mort une propriété sur Rémire,succession compliquée,obligation de se rendre tous les jours sur les lieux pour dissuader les squatteurs,des sois-disant demandes de location de gens qui rôdent autour de la propriété. L’État et ses lois absurdes,passé 48h le squatteur est chez lui,il faut payer pour le déloger quoiqu’il fasse (drogue,prostitution,nuisances sonores) un ou deux enfants sur les lieux c’est pire.