Le gallodrome « clandestin » n’en était finalement pas un
Quatre individus, interpellés en mai 2024 dans un gallodrome présenté comme clandestin par les forces de l’ordre, ont été jugés en octobre et en partie relaxés des faits qui leur étaient reprochés. Le gallodrome bénéficiait en fait depuis plus de 30 ans d’une autorisation de la Mairie de Cayenne, s’appuyant sur une jurisprudence qui tolère les combats de coqs en Guyane, aux Antilles, à La Réunion et dans les Hauts-de-France à condition que ces combats soient organisés dans un gallodrome déclaré et dont l’activité a été ininterrompue depuis 1964. C’est une affaire peu commune qu’a eu à traiter le tribunal…
La suite de cet article est réservée aux abonné(es).
Rejoignez-nous et faites vivre l’information d’intérêt général et de qualité. Restez bien informés et accédez à nos informations, reportages, enquêtes et analyses, à lire nulle part ailleurs !
Lisez la suite pour 1€
Je m'abonneVous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.
2 commentaires
Article illustrant bien la pensé de Christiane » https://www.franceguyane.fr/actualite/faitsdivers/tribune-de-ces-minabilites-mediatiques-1011175.php«
D’un point de vue tant rhétorique que psychologique, une réponse à l’insignifiance est tout de même une forme d’aveux de contrariété…