Huis clos pour le procès de Michel Aliman-He, médiateur culturel, qui a fait appel de sa condamnation à 4 ans ferme pour agression sexuelle sur une mineure de 10 ans sourde et muette, verdict le 17 novembre
La dernière fois le procès de Michel Aliman-He n’avait pu avoir lieu (voir cet article) car Laetitia (nous avons modifié son prénom) n’avait ni avocat, ni interprète en langue des signes. Cette fois-ci l’interprète en langue des signes était là, une jeune femme apparemment dynamique mais toujours pas d’avocat, ironie du sort ou clin d’oeil de l’histoire dans la foulée de voyage d’une pirogue d’accès au droit la semaine dernière sur le fleuve Maroni…. Un avocat aurat fait l’équilibre « L’avocat n’est pas obligatoire concernant les parties civiles », nous a lancé une avocate. Mais pour une fille souffrant d’un double handicap…
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1 commentaires
Comment s’etonner??
quand l’Apadag et Serac font tout pour se tirer dans les pattes, depuis des années, et ce faisant, mettent des batons dans les roues des sourds eux mêmes!
Même l’entreprise d’accessibilités (crée par une sourde) néO est sabordée et sabotée par l’agefiph qui ne lui donne pas ses subventions.
Et vous voulez qu’ils aient les moyens d’intervenir?!
Etes vous sûr que le traducteur a bien traduit?? sur quels critères??
Derrière le problème de la sourde amérindienne, se pose le problème plus vaste de la place des Sourds en Guyane, et les abandons, abus de faiblesse, sabotages professionnels et méfaits des professionnels, institutions et associations censées les soutenir!