Affaire du parachute doré : peines de prison ferme en appel pour Léon Bertrand et Guy Le Navennec
Déjà condamné en première instance dans cette affaire, le 12 août 2014, l’ancien ministre délégué au tourisme de Jacques Chirac et toujours maire de Saint-Laurent du Maroni, Léon Bertrand, a été condamné à 18 mois de prison ferme et 100 000 euros d’amende ce mercredi par la Cour d’appel de Cayenne pour « complicité d’abus de biens sociaux » dans l’affaire du parachute doré de la Senog, une histoire d’indemnités de près de 900 000 euros sorties tardivement du chapeau et octroyées à Guy Le Navennec son ami et directeur général de la société au moment des faits. Léon Bertrand était président de…
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5 commentaires
il n’en a cure ? et en cassation, si sa culpabilité était confirmée, pourrait elle être alourdie ???
et qu’en est il de l’enquête sur le meurtre de Myrtho Fowel ???
Classiquement la Cour de Cassation peut soit confirmer l’arrêt d’appel, soit le casser complètement ou partiellement. S’il est cassé, l’affaire est renvoyée devant une Cour d’Appel composée différemment pour un nouveau procès d’appel portant sur les dispositions cassées.
Elle peut évoquer l’affaire pour rendre elle-même une nouvelle décision mais c’est plus rare.
Et bien ils en ont pris plein la G….. Au fait ça coûte combien ces procès? Ça coûte combien d’aller en cassation ? Et qui paye ? Serait il possible d’avoir un eclairssiment.
Il est pareil à un tic qui suce le sang de sa victime jusqu’à son épuisement !
Au plus on tente de l’arracher du corps au plus il s’accroche fermement !
J’ai entendu parlé d’une magouille sur un marché de la SENOG sur lequel il était demandé le reversement d’une enveloppe de plus de 10%, au moment des élections de Bertrand. L’entreprise a refusé, le marché attribué à un autre et le chantier jamais fini. Voilà 10% qui ont coûté cher aux administrés que nous sommes.
Ce qui m’étonne, c’est que les enquêteurs ne trouvent pas plus d’éléments et que Léon le bandit soit toujours dans la course.