21 personnes suspectées dans un trafic de cocaïne entre la Guyane et Le Mans, 15 prévenu(e)s, pour la plupart Guyanais, dont 13 en détention face aux juges : fournisseurs, commanditaires, convoyeurs et revendeurs…
De ce lundi 20 novembre au mardi 28, 15 prévenus de sexe masculin et féminin, comparaitront à l’audience du tribunal correctionnel du Mans dans une affaire de trafic de cocaïne passant par la Guyane. Le 16ème mis en examen fait l’objet d’un mandat d’arrêt mais n’a pas été localisé, dit un communiqué de la procureure Delphine Dewailly que nous nous sommes procuré vendredi. Parmi les prévenus figurent des fournisseurs, des commanditaires, des convoyeurs et des revendeurs principaux… Une figure de Saint-Laurent du Maroni, 5ème adjoint au maire chargé de la jeunesse au moment des faits, Ferdinand Boisrond mis en examen,…
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4 commentaires
^Mon défunt père disait souvent que l’Argent est un mal nécessaire mais aussi une malédiction quand vous êtes dominé par l’Argent .Oui certains cherchent une source de revenu en faisant la mule,mais quand vous apprenez que des individus qui ont un emploi parfois bien rémunéré sont des trafiquants ou trempent dans des magouilles,là c’est trop.Au delà du trafic les dégâts que cette cocaïne fait dans les familles où un parent est consommateur, les peines sont minimes pour les trafiquants et surtout les gros poissons ne sont jamais inquiétés.Au lieu de se réjouir il faut être prudent pour ne pas tomber dans le piège,attendons la fin du procès,c’est dommage pour la Guyane.
« Les usagers de cocaïne ont, pour leur part, fait l’objet d’une réponse pénale distincte », poursuit le communiqué sans plus de précision. Je l’ai ajouté…
^Quand je parle de dégâts,c’est surtout au point de vue mental.Des hommes et des femmes qui avaient un emploi aujourd’hui ce sont des loques qui trainent dans les rues.Ceux qui vivent encore chez leurs parents tabassent ces derniers pour avoir de l’argent.Dans le bus récemment il y avait une place de libre près d’un jeune,un peu étonnée de voir les gens debout ,,tant pis je suis allée m’assoir,ce jeune s’est tourné vers moi avec ses doigts comme une arme il m’a visée en disant « bing » je n’ai rien dit,j’ai vite compris pourquoi les gens restaient debout,le regard était bizarre.Je vis dans un quartier où il y a les revendeurs,les consommateurs,quand ils sont en manque,les hurlements comme une souffrance,les pleurs c’est triste! alors que les trafiquants mènent pour certains la vie de château,pour moi ce sont des criminels.
Le tissu associatif est faible en Guyane pour prendre en charge ces gens-là… Et je ne parle même pas d’autres cas…