Pouvait-il en être autrement ?
Au pays auriverde, le progrès inégalitaire montre son revers, celui d’enfants qui partent le vendre vide à l’école, avec sur le chemin, les titanesques murs de pierres qui accueilleront dans quelques mois la gabegie footballistique. Secouées depuis lundi par une monstrueuse fronde sociale, les grandes villes du pays-continent sont assaillies. Depuis hier les troupes d’élite de la police brésilienne ont été dépêchées en urgence pour sécuriser les stades qui accueillent de la Coupe des Confédérations de football et qui sont devenus les symboles d’un système injuste. Le ballon rond, fierté nationale inégalée est aujourd’hui devenu la source des rancœurs. Car…
La suite de cet article est réservée aux abonné(es).
Rejoignez-nous et faites vivre l’information d’intérêt général et de qualité. Restez bien informés et accédez à nos informations, reportages, enquêtes et analyses, à lire nulle part ailleurs !
Lisez la suite pour 1€
Je m'abonne
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.