« Et ces 80 coups de téléphones passés entre M. Bace à Ruben Carrasco, son coiffeur à la Crique, monsieur Bace l’explique par la nécessité de prendre soin de sa barbe et de sa coiffure. Mais même moi, 80 coups de téléphone à mon coiffeur, je n’y arrive pas » ironise Isabelle Arnal à l’audience. Livio Bace admet à minima avoir été approché dans le salon de coiffure de Carrasco dans l’affaire du 30 mai 2014. Au procès, il apparaît que des mis en cause changeaient de puce de téléphone tout en gardant le même téléphone portable ce qui aura permis aisément…