Cinq cyclistes contrôlés positifs au cours des trois derniers Tours de Guyane et un taux de positifs en Guyane, tous sports confondus, supérieur à la moyenne nationale !
Le basket déplore aussi un cas positif en Guyane sur la période 2011/2015. Cela remonte à l’année 2012. Sur cette période de 5 ans, le basket n’a fait l’objet de contrôles que lors des années 2012 et 2013 pour 31 contrôles au total (16 en 2012 et 15 en 2013). C’est plus en deux ans que l’athlétisme sur trois. Un contrôle positif ne veut pas obligatoirement dire sportif dopé et sanctionné. Nous préférons dans ce cas, parler de contrôle anormal (Une source au sein de l’AFLD) Avec ses 31 contrôles urinaires, le basket a été concerné par un peu plus…
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2 commentaires
Sacré enquête, très fouillée, bravo. Cependant il est dommage de ne pas connaitre les motivations profondes des dopés. Vouloir battre les autres on peut le supposer. L’appât du gain est plus hasardeux lorsqu’on compare » le cout de l’investissement » au montant des prix distribués même dans le vélo ici en Guyane.
Au fond on se dope peut être pour être le roi dans son village, un héros pour sa famille, un crack ( si j’ose dire ) pour les filles. C’est bien dérisoire en fait.
Votre remarque est très juste. Je dirai peut-être : un manque de recul par rapport à sa pratique sportive. Le règne de l’apparence. L’entourage aussi est important. La plupart du temps, les dopés ne témoignent pas. Ou nient…