Cinq cyclistes contrôlés positifs au cours des trois derniers Tours de Guyane et un taux de positifs en Guyane, tous sports confondus, supérieur à la moyenne nationale !
Autre mauvais élève, sur ces dernières années de contrôle antidopage en Guyane, le futsal avec deux cas positifs : un en 2012 et un en 2013. Et pourtant, le futsal n’a plus fait l’objet depuis d’un seul contrôle, ni en 2014 ni en 2015 en Guyane. D’ailleurs sur la période de 5 ans (2011-2015), examinée par nos soins, le futsal n’a été contrôlé qu’au cours de deux années. Ce sport déplore, dès lors, lui aussi, un taux de positifs très élevé de 11,11% avec 2 positifs sur 18 contrôles urinaires en 2012 et 2013 (12 en 2012 et 6 en 2013)…
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2 commentaires
Sacré enquête, très fouillée, bravo. Cependant il est dommage de ne pas connaitre les motivations profondes des dopés. Vouloir battre les autres on peut le supposer. L’appât du gain est plus hasardeux lorsqu’on compare » le cout de l’investissement » au montant des prix distribués même dans le vélo ici en Guyane.
Au fond on se dope peut être pour être le roi dans son village, un héros pour sa famille, un crack ( si j’ose dire ) pour les filles. C’est bien dérisoire en fait.
Votre remarque est très juste. Je dirai peut-être : un manque de recul par rapport à sa pratique sportive. Le règne de l’apparence. L’entourage aussi est important. La plupart du temps, les dopés ne témoignent pas. Ou nient…