Cinq cyclistes contrôlés positifs au cours des trois derniers Tours de Guyane et un taux de positifs en Guyane, tous sports confondus, supérieur à la moyenne nationale !
Un autre cycliste a été contrôlé positif, cette fois lors du Tour 2014, à l’issue d’une arrivée d’étape à Kourou. Il s’agit d’un coureur licencié au sein de la Fédération française de cyclisme dont nous ne connaissons pas l’identité. Deux substances interdites (toutes deux de la classe des glucocorticoïdes comme dans le cas de Jaïr Zéphyrin) avaient été retrouvées dans ses urines à la suite de ce contrôle effectué le 22 août 2014 dans la ville spatiale : il s’agissait de prednisone et de prednisolone à des concentrations respectives de 1180 et 1800 nanogrammes par millilitre. « Ces taux sont énormes »…
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2 commentaires
Sacré enquête, très fouillée, bravo. Cependant il est dommage de ne pas connaitre les motivations profondes des dopés. Vouloir battre les autres on peut le supposer. L’appât du gain est plus hasardeux lorsqu’on compare » le cout de l’investissement » au montant des prix distribués même dans le vélo ici en Guyane.
Au fond on se dope peut être pour être le roi dans son village, un héros pour sa famille, un crack ( si j’ose dire ) pour les filles. C’est bien dérisoire en fait.
Votre remarque est très juste. Je dirai peut-être : un manque de recul par rapport à sa pratique sportive. Le règne de l’apparence. L’entourage aussi est important. La plupart du temps, les dopés ne témoignent pas. Ou nient…