Walwari réclame « une université de plein exercice »
A son tour le mouvement politique Walwari « émet des réserves sérieuses sur la capacité de l’université en Guyane [UAG] » de répondre aux attentes. « La perception que l’on peut en avoir de l’extérieur est celle d’un environnement éclaté et émietté par des conflits de pouvoir, la compétition stérile avec les pôles antillais et l’incurie de la gouvernance de l’IESG » écrit le secrétaire général Joël Pied, qui rebondit sur les différentes plaintes émanant du corps enseignant, qu’il s’agisse de la non-reconduite en septembre de la licence option gestion et traitement des eaux et des déchets (Guyaweb du 18/07) ou de…
La suite de cet article est réservée aux abonné(es).
Rejoignez-nous et faites vivre l’information d’intérêt général et de qualité. Restez bien informés et accédez à nos informations, reportages, enquêtes et analyses, à lire nulle part ailleurs !
Lisez la suite pour 1€
Je m'abonne
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.