La mairie priée de faire sa part, à l’école Colibris
Plutôt que le nom du père de Marie-Laure Phinéra-Horth sur les murs, c’est un coup de neuf dans les sanitaires et la concrétisation des « promesses » que réclament de longue date certains parents d’élèves de l’ex école Colibris à Bourda. La fin de l’année scolaire a été perturbée dans certaines familles, lorsque celles-ci ont appris que l’école Colibris – rebaptisée en novembre 2014 du nom du père du maire de Cayenne, Stéphan Phinéra-Horth (président du conseil général de 1994 à 1998, directeur d’écoles) – allait être amputée d’une « petite section de maternelle ». « Nous réclamons que la mairie s’engage à ouvrir deux…
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2 commentaires
C’est par le niveau d’exigence des usagers et des consommateurs que ce pays sera obligé de se secouer, de regarder plus loin que son nombril et ses mauvaises habitudes, bref sortira de sa médiocrité.
Continuons et multiplions les actions, sur tous les sites.
La Guyane, d’une manière générale, est en carence de services : fonctionnaires incompétents, pas prompts à se former, état des écoles, des routes, pas de trottoirs, de pistes cyclables. Parce que les usagers laissent faire.
Tout à fait d’accord avec vos propos. Quand est-ce que les Guyanais vont enfin prendre conscience de ce qui se passe et enfin réagir. On ne peut pas continuer à toujours se plaindre mais à ne même pas bouger 1 cil pour que les choses avancent . Nous sommes au 21eme siècle, allons-nous continuer à nous contenter de voir les événements défilés, les opportunités se présenter et ne pas les saisir et continuer à se plaindre que rien ne bouge ?