Colère contre l’errance forcée
A chaque rentrée scolaire, et au cours des semaines qui suivent, des collégiens et lycéens « amérindiens » sont catapultés au nom de l’instruction obligatoire dans des « internats », des « homes » ou chez des « familles d’accueil » sans que leurs parents ne sachent si les conditions d’hébergement ne portent pas atteintes à la sécurité, à la dignité de leurs petits. Des figures militantes autochtones ont tapé du « poing sur la table » vendredi et demandent « à la CTG, à la préfecture, au rectorat » d’assumer « leurs responsabilités ». A « Camopi, A Maripa-Soula, sur le littoral », à chaque rentrée son lot de drames humains et de…
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3 commentaires
L’errance interne, le gouvernement et les droits de l’homme s’en moquent. Ils préfèrent s’occuper de l’errance externe, c’est plus « porteur »…
la façon dont « nous » traitons les jeunes Amérindiens scolarisés loin de chez eux est une honte – n’oublions pas que nous leur devons le respect, car ils sont chez eux dans ce pays, n’est-ce-pas ?
On trouve en France des internats de qualité même pour des collèges. Alors pourquoi n’en serions nous pas capable chez nous ?