Ces ultramarins qui migrent pour travailler
Une analyse sur l’insertion professionnelle des jeunes ultramarins conduite par l’institut national d’études démographiques, rapporte que les ultramarins qui vont travailler dans l’hexagone accèdent plus largement à l’emploi que leurs pairs métropolitains ou ultramarins, les plus âgés peinent cependant à faire reconnaître leur qualification. Cruellement, s’ils reviennent sans diplôme au péyi, ils accèderont plus difficilement à l’emploi que les non migrants. Claude Valentin Marie et Franck Temporal sont les auteurs d’un rapport rendu public par l’institut national d’études démographiques (Ined) qui s’est intéressé à l’insertion professionnelle des jeunes ultramarins dans leur territoire de naissance et dans l’hexagone. Il apparaît que nombreux…
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