Aérien : la Surinam Airways de retour « fin mars »
Trois ans après l’arrêt de la desserte Paramaribo-Cayenne-Belem, la Surinam Airways prépare son retour dans le ciel guyanais. Après avoir obtenu un accord avec l’aviation civile le 20 janvier 2022, la compagnie peaufine les réglages et espère reprendre ses vols « fin mars » d’après son représentant en Guyane. De quoi raviver le trafic aérien et le tourisme, deux secteurs durement touchés par la crise Covid. Trois ans et sept mois. C’est la durée d’absence de la Surinam Airways dans le ciel guyanais. En juin 2018, la compagnie aérienne avait été contrainte de stopper la liaison Paramaribo-Cayenne-Belem. Des soucis de…
La suite de cet article est réservée aux abonné(es).
Rejoignez-nous et faites vivre l’information d’intérêt général et de qualité. Restez bien informés et accédez à nos informations, reportages, enquêtes et analyses, à lire nulle part ailleurs !
Lisez la suite pour 1€
Je m'abonneVous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.
5 commentaires
Enfin, même avec des horaires de nuit ….
De quoi raviver le trafic aérien et le tourisme 🤔
Trafic aerein oui ……tourisme bin pas trop..en tout cas pas sur la guyane.
C est essentiellement des francais qui partent depenser des euros ailleurs et non pas des bresiliens ou surinamais qui viennent depenser leurs devises ici.
Je me souviens d’un vol Paramaribo – Cayenne – Bélem, il y a environ 25 , 30ans, avec un avion de la « Tupana Airlines » vénézuélien, avec personnel de bord surinamais, inoubliable!, surtout la purée sucrèe, l’avion à hélices qui tremblait de partout, et, cerise sur le gâteau un siège s’est détaché, épique, inoubliable, content d’atterrir à Bélem!!!
Et une compagnie Française assurant la liaison c’est pour quand ???
Les Brésiliens ont besoin d’un visa pour venir en Guyane alors qu’ils n’en ont pas besoin pour aller en France ou aux Antilles. Une absurdité qui n’aide en rien le développement du tourisme ou du business en Guyane…
Et ces mesures discriminatoires n’empêchent en rien les clandestins de rentrer en masse et en toute impunité en Guyane.