Discriminations dans l’accès aux soins : le cas guyanais pointé du doigt
L’association de lutte contre le VIH/Sida AIDES vient de publier un rapport sur les discriminations auxquelles font face les personnes séropositives ou atteintes d’hépatites virales. La Guyane y est montrée du doigt : les contrôles routiers de Régina et d’Iracoubo bloquent les malades dans leur accès aux soins. Une analyse que dément l’Agence régionale de Santé. Toute une partie du rapport intitulé VIH/hépatites : la face cachée des discriminations est consacrée à la Guyane. Ce travail pointe les « paradoxes guyanais ». En Guyane, alors que les indicateurs de santé sont plutôt très défavorables, notamment en matière de VIH, des barrages routiers…
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7 commentaires
Légende de figure 1 inexacte qui laisse à penser que l’offre de santé se limite à cela en Guyane hors j’imagine que cette carte représente l’offre de soin en terme de VIH vu la source. Cela est ambigu. En effet, près d’une vingtaine de centre de santé en Guyane.
Parce que Chrtistian Meurin est encore le directeur du ARS ? Il dément encore après son coup au malathion ?
Pauvre de nous, pauvre Guyane.
Il est urgent de faire la promotion de l’abstinence avant le mariage et la fidélité dans celui-ci.
Dans ce monde – et particulièrement cette région – où la promiscuité sexuelle, l’adultère, le multi-partenariat et les débandades sexuelle en général sont banals et pleinement encouragés , il faut revenir à de vraies valeurs.
A savoir que statistiquement, la tranche de personnes qui a connu des rapports sexuels avant le mariage est plus touchée par le divorce que celle ayant attendue le mariage pour s’unir corporellement.
Le préservatif ne donne qu’un faux sentiment de sécurité et encourage la population dans ses plus profonds vices.
Mais il est impolitiquement correct de le dire malgré la réalité des chiffres.
C’est ce genre de discours obscurantiste et hypocrite qui favorise la propagation de cette pandémie qu’est le VIH en Guyane.
C’est rageant de lire autant d’inepties dans ce documentaire, on montre la Guyane comme étant l’unique endroit où on peut soigner. Il n’y a rien à Oiapoqué et Macapa (Brésil) et au Surinam ?? Arrêtons de jouer aux humanistes alors que notre population en Guyane est déjà mal soignée. Nous avons assez de malades ici pour encore en accueillir ceux des pays voisins qui viennent gonfler les chiffres et les risques de contamination. Les cabinets des médecins et les urgences sont remplis de malades étrangers souvent imaginaires, parce que bénéficiant de soins gratuits, plus que de vrai malades guyanais J’ai dû attendre toute une matinée en souffrant et me tordant de douleurs chez mon médecin traitant parce que devant moi il y a de nombreux patients étrangers qui rigolaient en attendant leur tour. Charité bien ordonnée commence par soit. S’il vous plait mesdames et messieurs de la santé, occupez vous d’abord de nos familles qui souffrent et qui vous payent pour exercer votre métier avant de vous occuper du reste du monde qui plombent notre système de sécurité sociale. Heureusement qu’il y a les barrages de contrôle à Régina et Iracoubo sinon que serait la santé en Guyane. Souvenez vous de ce gamin retrouvé noyé sur les plages d’Italie parce qu’il accompagnait son père qui voulait se refaire les dents. Quel prix à la vie pour ces gens qui ne pense qu’à piller nos aides sociales sans vous dire merci, sans aucune reconnaissance pour cette terre d’accueil. Pensons à nos enfants d’abord.
Quel article! Ce sont des bobos parisiens qui viennent de temps en temps en Guyane et se veulent moralisateur! Ils ne savent même pas quel est l’historique de la mise en place de ces barrages, ni quels ont été les impacts sur l’insécurité! Ce sont eux que l’on devrait bloquer aux barrages et refouler aux frontières, il y aurait moins d’idioties publiées dans les médias.
Ca vole encore très bas.
147 contaminations annuelles pour 100 000 habitants, avec une espérance de vie sexuelle de 40 ans, cela fait 6 000 habitants, soit 6% de la population. ce calcul simpliste est probablement faux. J’ai lu un autre chiffre de 2300 cas diagnostiqués, soit 1% de la population, ou environ 2 % de la population « adulte ». 1 personne sur 50 !
C’est un vrai risque sanitaire pour la Guyane et il est normal de prendre toutes les précautions pour cela. S’occuper des étrangers et autres laissés pour compte c’est aussi nous protéger d’une contamination, beaucoup plus faible en cas de traitement.