Vovô, la « saudade » guyanaise
Jusqu’à quel point le caractère et les années accumulées façonnent-ils le rapport à son pays ? Le roman épistolaire Lettres à Vovô offre un mariage inédit, celui de Patrick Malherbe avec Dgé Oussour. Parues au quatrième trimestre 2016, les Lettres à Vovô (Ibis Rouge Editions), les lettres au grand-père (le « vovô » du Brésil) rassemblent Dgé Oussour et Patrick Malherbe. Le roman est rédigé à la manière d’une correspondance qu’entretiennent deux hommes : Vovô et Yahn, respectivement habités par chacun des auteurs. Vovô est un homme d’une soixantaine d’années qui a vécu trente ans en Guyane, dont une bonne partie sur le…
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1 commentaires
C’est une pure merveille !! à lire absolument surtout en cette période de fête d’autant que le temps est bien pluvieux ces jours-çi.
Quant aux correspondances, aux commentaires associés c’est du pur bonheur surtout en ce qui concerne les descriptions des attitudes, des reflexes de comportement de certains. C’est aussi un regard plein de nostalgie furtive, de complicité profonde, d’une Guyane éternelle riche de ses différences et de ses travers.
C’est aussi un livre d’homme, à mon sens pour les hommes qui quelquefois regrettent leurs actes manqués, leurs indélicatesses du fait d’un soleil qui ici finit par taper fort sur la tête, surtout de coté de Regina lorsque les rencontres se prolongent bien tard, que les espérances s’expriment et les regrets aussi autour il faut le dire de Belles Cabresses un peu trop dosées.