Samedi littéraire, Lettres à Vôvo, chapitre 5
Pendant la période des grandes vacances scolaires, le samedi, les maux de l’actualité s’envolent et Guyaweb s’ouvre aux mots, pour un bon bol d’air. Cette nouvelle rubrique dédiée à la production littéraire, déclamée ou couchée sur le papier, démarre avec une fiction, Lettres à Vovô, une correspondance inédite entre les deux auteurs Patrick Malherbe et Dgé Oussour, qui donnent vie à Yahn et Vôvo. Le chapitre 1, le chapitre 2 et les chapitres 3 et 4 en lecture. CHAPITRE 5 Bon dia rapaz, J’aime trop ce pays et ses gens pour en oublier la langue et la chaleur…
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3 commentaires
Je vais sûrement m’attirer les foudres des biens pensants, mais je pense encore qu’on puisse s’exprimer…
Pour le passage sur le débat du PSG et de certains autres partis guyanais :
– Il s’agit d’être Guyanais pur sucre pour défendre ses « jobs » et autres avantages acquis plus ou moins au détriment de l’économie locale en général
– ET D’ÊTRE FRANÇAIS LORSQU’IL FAUT LES FONDS pour financer l’économie, la chambre de commerce, les allocs etc…
C’est inacceptable, nous sommes au 21eme siècle, la Guyane ne peut pas continuer à fonctionner comme çà avec des partis politiques plus ou moins réacs, qui savent pagayer pour leurs petits profits persos et sont en train d’étouffer ceux qui essaient de tirer leur tête de l’eau, je pense à tous ces jeunes entrepreneurs notamment qui rament.
Pour l’amitié et ce qu’on propose ,offre ,ou demande à ceux qui nous entourent, je suis comme vous, à vous lire je m’aperçois que je m’adapte à la personne en face de moi.
Super ces lettres à vovo, ça prends de l’ampleur…on attend la suite !!! Merci, par ces réflexions épistolaires, d’aborder les complexités et specificités guyanaises.
Bravo, on touche vraiment la corde sensible, la seule raison du mal vivre en Guyane
On oublie toujours qu’il y a des autochtones
De toute manière, la politique locale, c’est la maternelle, la politique nationale, le BAC+10 en culotte courte.
Heureusement qu’il y a quelques amies incolore