Le marronnage inspire les auteurs
L’histoire des esclaves rebelles marrons inspire la création littéraire. Récemment, deux bandes dessinées – Angola Janga et Nengue – ainsi qu’un roman historique – Boni, aux origines d’un peuple – se sont emparés de ce pan de l’histoire de l’esclavage pour le raconter en mêlant recherches historiques et fiction. Le peuple boni et la figure de son chef Boni Okilifu sont à l’honneur. Dans Nengue, l’histoire oubliée des esclaves de Guyane, les auteurs racontent à la fois l’expédition de 1877 de l’explorateur Jules Crevaux le long du Maroni jusqu’au Tumuc-Humac et l’histoire du peuple boni qui débute au XVIIIème siècle au…
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1 commentaires
Ah…. Ça fait vraiment plaisir de voir la suite de la diaspora africaine gagner de plus en plus de visibilité. Encore mieux de voir Stéphane Blanco continuer à nous plonger dans son imaginaire plutôt proche du réel! Je me souviens encore d’une époque où il n’existait pas encore des drones et nous nous rendions à la tache de faire voler de appareils photo accrochés à des cerf-volants. Ceux qui savent rêver, je ferais toujours confiance. Merci Hélène.