Le djokan renforce ses racines africaines
Le visage rayonnant et les deux pieds bien ancrés au sol, Sawani Makan (Yannick Théolade) revient heureux du Sénégal. Il vient d’installer le premier institut de Djokan (kandjokan) à Dakar. En 2012-2013, il pénétrait pour la première fois l’Afrique, “la terre mère” où il inaugurait son premier kandjokan, c’était dans la ville aux sept collines, Yaoundé au Cameroun. Depuis la création de sa discipline (qui mêle les rythmes du tambour, les gestuelles guerrières, musicales et patrimoniales businenges, amérindiennes, créole) et en seulement quatre ans, le Gran Dôkô a parcouru un sacré chemin, avec onze instituts d’apprentissage du djokan égrainés de…
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