La vente du beau-livre vire en tafia
Pilote de l’ouvrage sorti fin janvier sur les Rhums Saint-Maurice aux Editions lelivred’art. (Guyaweb du 21/01), Didier Béreau, maître de conférence en chimie à l’université des Antilles et de la Guyane s’agace aujourd’hui de la difficulté de « diffusion » du beau-livre au motif « que la distribution d’ouvrages dans les librairies de Guyane (certes rares) et les grandes et moyennes surfaces [fait] partie de marchés exclusifs ». « Aussi, ai-je pu comprendre que les acteurs de cette distribution se résumaient à un [fournisseur] principal [pour la plupart des hyper et super du département ; hors Matoury qui est sous contrat exclusif antillais] ; [et]…
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Je suis vraiment déçu de ce marché exclusif. Il est temps que le Guyanais se réveille, nous n’aurons bientôt que nos yeux pour pleurer. Mais ne vous en faites pas M. Béreau, nous sommes assez nombreux pour vendre ce magnifique livre (le bouche à oreille et le porte à porte n’ont jamais tué personnes).
A bientôt
ça veut dire quoi antillais ?,SAINTE LUCIE TRINIDAD BARBADE MQUE GUADELOUPE DOMINIQUE VENEZUELA ou SAINT VINCENT? sacré cliché !va!