La littérature régionale en mal de traduction
Et si demain les collégiens de Kourou étudiaient la littérature georgetownienne ? Et si la poésie surinamaise devenait l’un des socles de connaissance des terminales littéraires ? Nombreux sont ceux qui rêvent de ponts en papier glacé reliant les berges des fleuves frontières et qui permettraient à la littérature du Plateau des Guyanes d’être partagée et de s’enrichir. « Peu développée dans nos régions la traduction littéraire demeure un secteur à intensifier ». Tel fut le débat impulsé samedi dernier par l’association Promolivres dans le cadre du festival culturel Inter Guyanes qui se tenait à l’Encre et rassemblait des délégations venues…
La suite de cet article est réservée aux abonné(es).
Rejoignez-nous et faites vivre l’information d’intérêt général et de qualité. Restez bien informés et accédez à nos informations, reportages, enquêtes et analyses, à lire nulle part ailleurs !
Lisez la suite pour 1€
Je m'abonne
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.