Histoire(s) de cimetières guyanais
Le cimetière des esclaves au Loyola, le cimetière des prêtres de la Counamama datant de la Révolution française, celui de Torcy englouti par le fleuve Mahury ou encore celui des relégués de Saint-Jean-du-Maroni : en ce jour de Toussaint, Guyaweb passe en revue quelques cimetières à l’histoire étonnante et parfois méconnue du littoral guyanais. Cette petite bibliographie des recherches effectuées sur des cimetières guyanais est non exhaustive. Vous pouvez l’enrichir par vos commentaires éclairés. Le cimetière de Cayenne C’est peut-être le plus documenté des cimetières guyanais. La passionnée d’histoire guyanaise Virginie Brunelot y a consacré un ouvrage publié en 2006…
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2 commentaires
il y aussi le cimetière de Kaw au dégrad de la RD 6. Avec ses tombes pour certaines très anciennes. Et le chemin qui mène à la roche gravée semble le traverser ce cimetière… Puisqu’il y a d’autres tombes de l’autre coté…
En fait on pourrait dire que chaque quartier, habitation a eu son cimetière. et quid de ceux des amérindiens et leurs urnes funéraires et ceux des noirs-marrons ?
Comme dis le vieux dicton en créole guyanais : Dan bwa to pas konett, to ka dronmi a cimetié… D’avance pardon si mon kréyol est mal écrit.
Merci pour votre article passionnant et documenté.
Bravo pour votre travail.
Sincères salutations,
jlp