Critique cinéma : Timbuktu
L’humanité et la poésie ont-elles encore une once d’espoir lorsque l’oiseau devient chagrin ? A l’affiche il y a un mois, Timbuktu ouvrait la compétition officielle de Cannes en 2014. Avec son long-métrage, Abderrahmane Sissakoné « propose une vision de la souffrance et de la résistance à l’œuvre sous la domination djihadiste au Nord-Mali » (Africultures.com du 20/05/14). Dans le cadre de la rubrique cinéma de Guyaweb, animée par l’option cinéma-audiovisuel du lycée Lama Prévôt de Rémire-Montjoly et en partenariat avec le multiplex Agora, Chloé Thomas, élève de terminale littéraire signe une analyse de ce long métrage. Après En attendant le bonheur et…
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1 commentaires
Bravo à cette Demoiselle d’avoir su exprimer en quelques lignes, la complexité des comportements humains. La référence à Hannah Arendt est pertinente est juste.