Chanté, pou pasé roun bon nwel
L’engouement pour le chanté nwel gagne petit à petit du terrain et de la voix dans le département. Cette année, de nombreux rendez-vous ont été proposés, notamment sur le Centre littoral : à l’aéroport, au conservatoire, à la bibliothèque Franconie, dans des bars etc. On peut même parfois, nous dit-on, entendre les kantiks s’élever des carbets, dans le calme de la nuit. Certes le phénomène n’a encore aucune commune comparaison avec la Martinique, où des groupes comme Ravine Plate ou Rasinn’ Nwel déplacent jusqu’à “2500-3000 personnes”, mais la manifestation commence à résonner et les groupes se forment, éphémères, offrant des…
La suite de cet article est réservée aux abonné(es).
Rejoignez-nous et faites vivre l’information d’intérêt général et de qualité. Restez bien informés et accédez à nos informations, reportages, enquêtes et analyses, à lire nulle part ailleurs !
Lisez la suite pour 1€
Je m'abonne
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.