50 ans de migrations en Guyane
La société guyanaise à l’épreuve des migrations, le dernier ouvrage de l’historien Serge Mam Lam Fouck porte sur les migrations qui ont profondément transformé la population guyanaise au cours de ces cinquante dernières années. Le livre vient de paraître chez Ibis Rouge. Il s’inscrit dans le programme de recherche « Mobilités, ethnicités, diversité culturelle : la Guyane entre Surinam et Brésil » réalisé par l’Université de Guyane en partenariat avec l’Observatoire Hommes-Milieux Oyapock et financé par l’Union Européenne et la Région Guyane. En cinquante ans, la population de la Guyane a été multipliée par sept, passant de 33 000 habitants en 1961 à…
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9 commentaires
pas les intéllos qui viennent !!!!!!!!!!!
Pour être franc mon cher ami, j’ai été le premier visa d’Étudiant dans le renseignement supérieur guyanais, arrivé dans l’année 2006, et la préfecture a fait publicité de ce fait. Mais derrière, j’ai connu un véritable parcours de combattant, ayant besoin de mobiliser même un ambassadeur brésilien à Brasília, mon ancien domicile, vis-à-vis du silence de la préfecture de la Guyane à ma demande de visa. A l’époque j’avais ma candidature retenue pour une des meilleures université de gestion de la France, Paris-Dauphine, opérant dans un campus délocalisé à Saint Laurent du Maroni. Ce silence a forcé l’Ambassade de France à Brasília à délivrer le visa unilatéralement , vu qui toutes les conditions étaient réunies. Pour être sincère je n’ai connais pas d’autres qu’on réussi avoir sont visa dans ces circonstances… Et jusqu’aujourd’hui La Guyane ferme les portes aux bons échanges avec le Brésil, aussi dans le sens économique. Dommage, le projet du Institut Amazonien, qu’entre autres prétentions favoriserait l’accueil d’étudiants sud-américains en niveau master, était unique et je ne vois pas aujourd’hui un dispositif le remplaçant, ce dernier étant éteint .
On supporte les « bienfaits » de l’immigration incontrôlée déjà bien assez au quotidien, est-ce nécessaire d’avoir tous les jours des articles sur ce thème ? L’auteure de ces articles semble faire une fixette.
Parce que, répéter à l’envi que l’immigration est une chance pour la Guyane ne serait pas nécessaire si cela était une vérité, constatée par tout le monde.
Peut être puisque si cette immigration était intégrée politiquement au projet de Guyane elle serait positive. Jusqu’aujourd’hui le constat est d’un refus de réalité, alors continuons a mener le sujet, voir même d’aller plus loin et intégrer ça au concept de Guyanais. Merci au site.
Le silence de la préfecture aux demandes de visa reflète l’inflexible administration de la Guyane depuis toujours : tout n’est que d’annonces, superficialité, blagues.
L’immigrtation ne peut être intégrée politiquement au projet de Guyane.
D’abord, il n’y a aucun projet de Guyane.
Il n’y a pas de politique non plus. Regardez le creux des propos des candidats à la collectivité unique. L’émission de GP est un triste cabaret.
L’immigration a une connotation viscéralement négative en Guyane, dont la première raison est que l’immigration est un échec patent. Non reconnu, mais justement ressenti. Elle est aussi source de péchés originaux (vis-à-vis des Amérindiens) et n’a réussi rien de notable.
La piètre qualité de l’immigration récente est un problème presque secondaire. Aucune immigration ne saurait être positive au sens de source d’enrichissement dans un contexte aussi pourri que la Guyane actuelle.
Pour ne pas constater que l’immigation a été, est et sera une chance pour notre Guyane il faut etre autiste
Pour VOTRE Guyane. Pour vous-même, peut-être.
L’a été ? Demandez l’avis des Amérindiens… Voyez l’état de la Guyane (pas l’état de votre compte, rempli des 40 %). Où est la chance ?
L’immigration n’est pas une chance. L’immigration est un phénomène. Peut être positive ou négative. Tout dépend de l’état du pays d’accueil.
L’immigration en Guyane n’a jamais été positive. Ceci s’apprécie à l’état du pays.
Peut-être c’est vous qui êtes la chance ?
Même dans le futur, vous voyez avec autant de perspicacité ? J’adore les constats des extralucides, ils rajoutent tellement de crédit à l’utopie délirante des adeptes de l’immigration forcément et exclusivement positive.
En Guyane il vous suffit d’ouvrir un seul oeil pour être extralucide, comme vous dites.
Le future sera à l’image du présent. A moins que l’immigration très positive, celle de l’élite haitien par exemple, ne le rende magnifique.