Séisme politique au Guatemala
Accusé d’être à la tête d’un réseau de contrebande et de fraude fiscale, le président de la République clame son innocence, alors que les appels à sa démission se multiplient, que la moitié de ses ministres ont renoncé à leur poste et que son ancienne vice-présidente est en prison. C’est en janvier 2012 qu’Otto Pérez Molina, un général à la retraite, a débuté son mandat de quatre ans à la présidence du Guatemala, pays centre-américain à la population très majoritairement amérindienne, l’un des plus pauvres du continent. En mai 2015 des parlementaires ont porté plainte contre le président de la…
La suite de cet article est réservée aux abonné(es).
Rejoignez-nous et faites vivre l’information d’intérêt général et de qualité. Restez bien informés et accédez à nos informations, reportages, enquêtes et analyses, à lire nulle part ailleurs !
Lisez la suite pour 1€
Je m'abonne
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.