Tel est le thème de la conférence qui sera donnée par Rosuel Lima-Pereira le 24 mai à l’Université de Guyane.
« Les mois de mars et avril 2017 en Guyane sont marqués par les mouvements sociaux. L’objectif de cette conférence est de présenter comment et pourquoi le mouvement social guyanais a été décrit par la presse brésilienne, au-delà du territoire voisin, l’Amapá. Dans une première partie seront présentées les raisons de l’intérêt de la presse brésilienne pour ce qui se passe en Guyane. Dans une deuxième partie seront présentées les explications et les analyses du mouvement guyanais selon le regard de la presse brésilienne. Enfin, une troisième partie de la communication sera consacrée à une brève étude comparative entre le discours de la presse brésilienne et le discours de la presse française métropolitaine ».
Rosuel Lima-Pereira est docteur en Études ibériques et ibéro-américaines de l’Université Bordeaux-Montaigne et maître de conférences en Civilisation brésilienne à l’Université de Guyane. Ses travaux de recherches portent sur l’imaginaire, les représentations, les croyances, le syncrétisme religieux et la formation de l’identité brésilienne.
« Le mouvement social en Guyane vu par la presse brésilienne: une rétrospective », une conférence de Rosuel Lima-Pereira le 24 mai à 18h30 à l’Université de Guyane (salle F01) à Cayenne.
4 commentaires
La bravoure,la témérité et la détermination de Caroline Tharot face à tous ces parasites de notre société malade ( Mafieux, Délinquants juvéniles ,
économiques et financiers, Opposants à la probité, Responsables de la prolifération des armes et trafics de stupéfiants) ; Risquent de lui coûter la vie
En Guyane , force est de constater que le laxisme des juges est en quelque sorte un bouclier qui les protège d’éventuelles représailles de la part des justiciables.
Ne soyons pas étonnés que la population soit seulement et de manière récurrence victime des malfrats et que ces hauts fonctionnaires ne soient
également leurs cibles.
En effet , laisser en liberté ces criminels et voyous de tous genre confortés par un sentiment d’impunité qui les habite leur assure une protection du fait que le gouvernement et l’ état sont en grande partie les premiers responsables de toutes les formes de dérives et comme Ponce PIlate ils se lavent les mains..
Si le Procureur ,Monsieur E. V s’applique tant bien que mal à se montrer équitable il ne le sera malheureusement en vain : Car. Il appert que certains juges et certains avocats ont bien plus de poids pour nuire aux efforts d’un Vaillant Procureur.
Etant moi-même victime de l’injustice de plusieurs juges et d’un certain avocat (durant vingt huit ans passés )déterminés à me débouter d’une affaire pénale mettant en cause un officier ministériel de la place.
N’étant point satisfait que mon affaire se soit soldée par un Non -Lieu , ils ont insisté auprès du Procureur pour que je sois condamnée à régler une amende pour cause de diffamation.
E. V n à pas donné suite à leur sentence et m’a simplement invitée à produire
de nouvelles preuves alors que moult preuves accablant le coupable étaient en leur possession..
Toute confrontation avec le coupable a fait objet de refus catégorique .
À noter également que lors des séances les Coupables (ou Détenus) ont le droit de s’exprimer alors que les Prévenus ( ou victimes) n’ont aucun droit à la parole quand il y a volonté de classer une affaire à laquelle aucune suite
n’est donnée car un jugement équitable porterait atteinte préjudiciable
à un grand délinquant appartenant à la classe des INTOUCHABLES.
Au temps pour moi lire : De tous genres
Merci
Décidément ! Avec du retard je m’aperçois que j’ai malencontreusement associé mon commentaire à l’article intitulé » Le mouvement social en guyane vu par la presse brésilienne alors qu’il aurait rapport avec l’article intitulé : Carotline Tharot magistrate deux fois en poste enGuyane…………
Encore une fois au temps pour moi pour cette seconde erreur «
Ils sont habitués au brésil, avec des élus corrompus, les trafiquants de drogue, mais nous avons eu notre printemps Guyanais mené par un gang de voyous dont la plupart sont des multirécidivistes… Et ce point là échappe souvent aux journalistes.