« Penser les relations ethno-raciales dans les trois Guyanes »
Dans son dernier numéro mis en ligne, la revue de sciences humaines et sociales Cahiers des Amériques latines consacre un dossier à l’étude des « relations ethno-raciales » sur le plateau des Guyanes, pensées en articulation avec les « trajectoires sociales et politiques ». Les textes d’une dizaine de scientifiques offrent un éclairage sur « quand et comment les relations ethno-raciales constituent un enjeu pertinent de différenciation et de discrimination » en Guyane française, au Suriname et au Guyana. Si comme le rappelle l’historien Edenz Maurice « le 12 juillet 2018, l’Assemblée nationale supprimait le mot « race » du premier article de la Constitution française »…
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8 commentaires
M’a t-on dit que les races n’existent pas, mais alors comment ses dérivés, les mots de sa famille peuvent-t-il subsister :-) ?
« privilège blanc » – ça dépend, hein.
Hypocrisie bien française. Dans les pays anglophones et même au Québec, le terme race fait référence à l’origine ethnique et ne suscite guère de débat.
Merci. On apprend tjs.
Pas d’accord avec Le Jaguar. Quand aux USiA on se félicite d’avoir choisi une vice président « noire » (Kamala Harris) en fait basanée – d’origine mixte – Jamaïque et Indienne – il ne s’agit pas d’une référence « ethnique » pas plus que pour la poétesse, elle de couleur noire, qui a lu ses oeuvres pour la confirmation de Joe Biden.
Ma question ne portait pas sur l’attitude d’ici ou d’ailleurs face à la diversité des bipèdes, ma question portait exclusivement sur l’écartement logique de l’usage des mots dont l’origine n’existe pas, du moins francolégalement.
Donc Anada, si la référence n’est pas ethnique, quelle est-elle ?
on ne dit pas blanc, on dit caucasien (même si vous n’avez pas d’ancêtre slave !)
Vous voulez dire Scythes. Ca me va… mais pourquoi si sévère avec le reste des Blancs ou apparentés que de leur retirer la peau ?