Wayabo : enjeux autour du projet Séché, refusé par Ringuet
Le groupe Séché continue d’avancer sur son projet d’implantation d’une décharge dans le « lotissement » agricole de Wayabo. Le projet, concurrentiel à celui de la CACL, et qui a reçu un avis défavorable du maire de Kourou traverse une étape décisive avec Gilbert Marel, exploitant agricole de Wayabo et propriétaire de la parcelle qui intéresse l’industriel. Les tractations sont en cours et elles conditionneront la poursuite ou non à court terme du projet de décharge porté par l’industriel Séché dans l’un des pôles agricoles majeurs de Kourou, à Wayabo. (Lire Guyaweb du 23/10/20), Le projet a essuyé un avis…
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1 commentaires
Quant au prix de « vente » de sa parcelle, dont l’évocation risque de susciter la médiocrité commune, ami Gilbert aurait pu répondre que l’EPAG a son tour, « paya » la somme de 11388 Euros pour ces 78 hectares….
Oui, parce que ces terres couvertes de forêt primaire furent valorisées à 146 Euros/hectare, parole des Cadastres… symbolisant la valeur de ce territoire auprès de la zorayitude sur place.
(Prix qu’ils ont multiplié par 11 (!!) pour la rédaction des contrats de « vente » en 2012 – ce qui relève d’une tricherie motivé par l’appât de gain de la part de l »établissement public.)
Et que la baisse de ce prix déjà outrageusement méprisant « en faveur » des « installés » corresponde non pas à un « cadeaux » à ces « spéculateurs » arrivés en 2004-2005, mais signifia une contrepartie pour leur installation sur une zone quasi inaccessible où le fonxionnalade craigna les occupations illégales…
Ceci dit, il aurait été utile de dérouler L’ENSEMBLE des « clauses anti-spéculatives » à la EPAG pour illustrer le sabotage organisé de l’économie locale…
Idiocratie version abjecte.